Kindle Paperwhite [Test]

Après le très populaire Kindle 4, Amazon a enfin lancé une liseuse éclairée que plusieurs attendaient avec impatience. Semblable à la Kobo Glo, la Kindle Paperwhite offre les mêmes caractéristiques que la Kindle Touch, mais avec un éclairage tout le tour de l’écran.

Design

Toujours au format compact de 6″ la Kindle Paperwhite permet la lecture de livrels et documents PDF sur un écran e-Ink dote d’une résolution de 768×1024. L’écran est aussi tactile comme bon nombre de liseuses cette année.

Bien que l’appareil semble assez petit, il n’en est pas moins plus lourd que je ne le pensais si vous le doté d’un étui. Suffisamment lourd pour être fatiguant lors d’une bonne séance de lecture coucher dans un lit, mais bien plus léger lorsque utilisé seul.

L’éclairage de l’écran est ajustable sur 24 niveaux et permet la lecture avec un très faible éclairage contrairement à la Kobo Glo qui semblait bloquer à une intensité équivalente au tiers de sa puissance.

Performance

La dalle augment un peu le nombre de pixels du modèle précédent, et bien que très claire on perçoit encore les pixels des caractères. C’est surement une question de police, mais la Glo semblait mieux définie, alors que tous deux ont la même résolution. C’est peut-être une différence liée au polices utilisé, mais comme je n’ai plus accès à la Kobo je ne peux les comparer.

Au moment de la réception de l’appareil, les performances étaient très mauvaises et plusieurs mises à jour ont été appliquées tout de suite pour une très grande amélioration de la réactivité de l’appareil. Nous sommes loin d’une tablette DEL, mais c’est assez rapide, surtout en mode livre. Les PDF images et complexes souffrent malheureusement de la faiblesse du processeur au changement de pages ou au changement du niveau de zoom.

L’autonomie est par contre très bonne, mais grandement affectée par l’éclairage. Je vous conseille donc de baisser ce dernier lorsque vous n’en avez pas besoin.

3G intégré

Le modèle testé intégrait la connectique 3G et la navigation dans le Kindle Store est assez agréable. Comme pour les PDF, si le processeur avait été plus puissant, l’expérience de magasinage aurait été plus rapide. L’achat est très simple et rapide. Vous ne pouvez par contre pas naviguer le web sur le navigateur intégré, vous devez-vous connectez via le Wi-Fi.

Caractéristiques

• Écran éclairé de 6″ en 1024×768
• Dimensions: 169mm x 117mm x 9.1 et poids de 213g
• Mémoire interne de 2Go
• Autonomie de 2 mois

Points positifs et négatifs

Points positifs

• Compacte et bien conçu
• Éclairage efficace et ajustable
• Réactivité très bonne

Points négatifs

• Lecture de PDF difficile
• Processeur pourrait être plus performant

Conclusion

Amazon démontre encore une fois son expertise en matière de liseuse, bien que certains points pourraient être améliorés. Le processeur intégré de la Kindle Paperwhite est parfait pour la lecture de livres, mais patine beaucoup pour des documents PDF. L’écran rétro éclairé est très efficace et offre une bonne flexibilité d’ajustements, mais pour être encore plus performant Amazon aurait pu augmenter sa résolution, car nous voyons encore les pixels, surtout en mode rétro éclairer ou nous avons tendance à rapprocher la liseuse de soi.

Kindle PaperwhiteAmazon

1 10 8.6 La Kindle Paperwhite est le premier modèle de liseuse d'Amazon doté d'une technologie qui éclair l'écran de la liseuse. Sembable au Kindle 4 avec écran tactile et une résolution plus définie, cet appareil peut aussi être doté de la connectique 3G pour l'achat et le transfert de livres.product

Kindle Paperwhite

Notation

Design

9

Performance

7

Écran

9

Écosystème

9

Autonomie

9

Généralement la note attribuée au produit est la moyenne des résultats ci-dessus. Toutefois, puisqu'il s'agit d'une moyenne non pondérée, nous nous réservons le droit de modifier la note globale si nous pensons qu'elle ne reflète pas notre évaluation globale et le prix du produit. Pour plus d'information sur la notation utilisée et les spécificités des tests, visitez cette page.

le 18 Avr 2013

Critique écrite par Alexandre Vallières-Lagacé