Les magasins exclusifs, une bonne ou une mauvaise chose?
0Sur ce sujet deux forces importantes s’affrontent. Celles d’un libre accès à l’achat de biens et d’un autre coter l’aspect exclusif qui peut être une des forces d’un marché capitaliste.
Habituellement, on croit que viser un profit par unité vendue aussi haut que possible est la meilleure façon d’obtenir une rentabilité. Plusieurs détaillants ainsi que manufacturier font l’inverse et nous on montrer que c’est tout aussi possible de faire des profits, voir plus. Nous n’avons qu’à penser à Wal-Mart et sa politique des prix le plus bas et son profit minuscule sur chaque vente. Ce dernier vise un plus large nombre de transactions pour faire ses profits et espère que ses prix bas vont justement attirer les foules.
À l’opposer certains détails tels Apple ont réussi à vendre avec des marges de près de 50% sans que cela semble affecter la popularité de ses produits. Bien évidemment, il aura fallu construire une image de marque impeccable et créer une envie en passant par l’innovation et des campagnes de marketing bien ficelé.
Apple possède même un magasin à son siège social où l’on peut acheter les produits habituels de la Pomme mais surtout des objets promotionnels exclusifs que nous ne pouvons trouver ailleurs. Des tasses aux t-shirts en passant par des stylos aux couleurs du MacBook, tout s’y trouve, et avec une étiquette de prix appréciable.
Ce dernier reste un magasin à profit élever tout comme l’ensemble de ses autres vitrines dans le monde. Mais cela ne l’empêche pas d’accorder aussi une place de choix pour les articles promotionnels. Là où un magasin conventionnel préférerait vendre plus de MacBooks où la marge est forcément plus importante.
Ce qui est intéressant avec cette dichotomie c’est qu’elles viennent renverser des percepts auparavant considérer comme acquis et évidents, et enseignés aux étudiants. Comme quoi rien n’est jamais figé dans la pierre!